J’écris pour te dire merci,
merci de m’avoir sauvé des ténèbres.
Merci d’avoir rempli ma vie de joie avec tes jeux et tes manies.
Merci de m’avoir fait voir que ce n’était pas moi qui t’avais sauvé la
vie, mais que c’est toi qui avais sauvé la mienne.
En effet, tu m’as donné l’occasion d’aimer vraiment. A toi mon grand ami
qui, un jour, a rempli mes journées de lumière et qui maintenant
illumine le ciel de ses grands yeux marron intense.
Je ne sais pas où tu es. Cependant, je veux que tu saches à quel point
tu nous manques.
En effet, nous avons tout fait pour prendre soin de toi et t’aimer,
parce que tu faisais partie de nous.
S’il y a un paradis dans l’au-delà, Dieu t’a sûrement emmené avec lui,
pour ta gentillesse et ton affection.
Bon voyage mon fidèle ami, mon amour tu es à jamais en moi, je t’aime!!!
Après une maladie éprouvante,
tu nous as laissé de merveilleux souvenirs pour éclairer notre vie.
Dommage que nous ne t’ayons pas connue plus tôt.
La maison est bien triste sans toi.
R.I.P ma Kea-keane
Bonsoir Dominique
Triste nouvelle !!
Après avoir partagé ma vie depuis 10ans ,Sherpa(ex Ginebra) s’est
endormie doucement dans mes bras hier matin ......
Elle me manquera,
Elle a été une super chienne malgré tout ses problèmes de santé, jamais
un grognement que de la gentillesse ......
Va ma Belle, on se retrouvera.
Toi et ton doux regard te voilà au Paradis des Chiens.
Je me souviendrais toujours de ton arrivée en Belgique grâce aux bons
soins de ta maman en Espagne, du dévouement d'Amour de Galgos et de
Dominique Dely.
Nous avions encore tant de choses à faire ensemble. Ton papa avait
réussi à faire de toi, avec douceur et patience, un beau grand chien !
Mais hélas, la vie en a voulu autrement… Tu as combattu avec courage tes
souffrances dues à ton cancer.
Je t'aime mon Grand Prince noir, mon grand Valentin......
Ma belle KALY, tu nous a quittés brutalement et subitement ce 23 avril
2012. Je te revois, la veille, courant dans le jardin avec Camélia,
pourchassant le chien de notre voisin.
A peine arrivée à la maison, tu as très vite compris les règles
(d'ailleurs il n'y en avait pas....). Canapé, friandises, promenades,
câlins, jeux et repas.... des mots que tu as immédiatement assimilés.
Ton plaisir était de me tenir compagnie, allongée dans ton panier,
lorsque je travaillais dans mon bureau, car toi seule avait vaincu la
peur des escaliers.
Tu voulais toujours être la première à me dire bonjour, le matin ou
lorsque je rentrais du travail, ne laissant à Camélia que la seconde
place. Camélia qui ne t'en a jamais tenu rigueur d'ailleurs.
Tu étais vive, heureuse de vivre, tu avais soif de liberté et tu avais
enfin trouvé le bonheur d'un foyer. Malheureusement, ce bonheur ne fut
que de courte durée, UN AN. Un an avant d'être emportée subitement. Ton
lourd passé de souffrances et de privations y a contribué.
Tu nous manques tellement ma Kaly, à moi et à Camélia, tu dois voir de
la haut qu'il ne se passe pas une journée sans que nous pensions à toi.
Tu es partie rejoindre les grandes prairies et tous frères galgos, mais
tu es surtout partie en emportant tout l'amour que nous avions pour toi
et qui restera à jamais.
1er mai 2012
Tu es arrivée le 21 juin avec l'été, tu nous a quitté le 1er mai....
cela ne t'a pas porté chance
Cela faisait 3 ans...
En 3 ans quelle métamorphose, fougue, joie de vivre, on remplacé peur et
crainte...
Tu nous as bien fait rire, du haut de tes grandes pattes noires, on
t'appelait: l'araignée, la sauterelle... mais le tout n'était que des
petits noms remplis d'affection.
Fini, les coups de fouets dans les jambes le matin
fini, les yeux tristes qui nous faisaient tous craquer pour un calin, tu
étais très bonne comédienne
fini, la truffe mouillée, qui furetait partout et qui nous donnait des
frissons
fini, les sprints dégentés dans le jardin en zigzagant entre les sapins
fini, les promenades en bord de Meuse, les vacances à la montagne
fini, la complicité et l'amitié qui vous liaient toi et Banboo
fini, les diverssions que tu faisais pour atterrir dans le canapé
Si tu nous voyais, aujourd'hui...
il fait vide, malgré ta grande taille, tu savais te faire toute
petite...
ton calme olympien, ta gentillesse et ta reconnaissance, laisse un vide
béant dans notre quotidien
Banboo est dans son panier depuis hier, elle ne veut pas en bouger sauf
si moi je bouge, elle me suit partout.
Il a suffi de 10 cm pour que tu t'engouffres dedans et te conduise vers
ta destinée oh combien injuste!!
Tu avais si peur de l'eau, c'est un comble!
Cependant en 3 ans tu n'avais jamais voulu te sauver, tu te sentais bien
parmi nous,
mais:
ta soif de liberté,
ton besoin de courir dans les grands espaces t'a été fatal...
Et là, si je peux me permettre,
chers amis des Galgos, s'il vous plaît,
surveillez vos clôtures, vos barrières, ne lâchez pas vos protégés
on n'est jamais certain à 100% de leur réaction
pourtant je sais, c'est tellement tantant de les lâcher et les voir
courir à perdre haleine... mais
je viens de vivre une expérience qui me marquera à jamais... je m'en
veux de ne pas avoir vu la barrière mal fermée
Repose en paix Ma Douce ANISA, je t'avais tellement désiré et j'étais si
fière de te montrer, il a suffit d'une fugue... et tout s'est écroulé!
TU ME MANQUES!
Ta maman Christine
Ma kéké d'amour, tu es arrivée
un 12 juin 2011, et tu as éblouis mon coeur, tu m'as tant apporté, je
t'aie tant aimée, mon amour de fifille.
Grâce à toi, j'ai rencontré une famille formidable "Amour de Galgos"
Tu es partie trop tôt ! Trop vite !
Retrouve les gens que j'aime là haut mon bébé et BRILLE...
Je ne t'oublierai jamais...
Tu étais notre rayon de soleil à tous. Merci pour toutes ces années
de bonheur que tu nous as fait partager !
Merci d'avoir aidé notre Gali dans son malheur !
Tu étais une petite chienne amoureuse de la vie. Une petite"mère Térésa" qui savait mettre
tout le monde en confiance, et qui avait un coeur gros comme
ça.
Tu es partie si vite, trop tôt...Nous espérons que de là
où tu es, tu as retrouvé tes amis d'antemps, et que tu y vis une
seconde vie pleine de bonheur et d'amour que tu as bien mérité. Une
chose est sure, c'est que tu veilles sur nous, notre petit Toto,
ton petit chat adoré, et sur notre Gali qui te pleure
chaque jour.
Nous t'aimons fort petite Nana courageuse, et pensons à toi chaque
jour.
Tes maitresses et tes amis, pour l'éternité, qui ne t'oublirons
jamais.
Que les humains pouvaient
aimer et que la main servait à caresser …
Toi Solete, toi si gentille, si douce
Mais encore si craintive …
Toi donc les seuls plaisirs
étaient de te vautrer dans les canapés
Et de te balader dans le parc
…
Par un triste jour d’été
Ton petit cœur s’est arrêté
tout doucement …
Mais je sais que du haut du
Pont de l’Arc-en-Ciel,
Tu nous regardes.
Maintenant, tu peux enfin
vivre heureuse, sans peur !
Au revoir Solete
Tu resteras dans nos cœurs à
jamais !
11/07/2009
Je suis vraiment triste je me
souviens de cette petite galga si maigre si craintive. Mme Lucas me
disait que son seul plaisir était le canapé et sa sortie dans le parc.
Solete a pu apprendre que les êtres humains étaient capables d'amour
pour elle.
Bises
La première fois que j'ai voulu raconter les
débuts de Nazareth dans son nouveau foyer, j'ai écrit toute une page à
la façon de "Nzaareth", et le texte n'a pu être validé. Alors
aujourd'hui, c'est moi, sa maîtresse Brigitte qui vat vous raconter son
histoire …
Quand il est arrivé chez nous, il s'est pris d'amour pour ma fille
Julie-Marie, et nos premières nuits ont été à la hauteur de ce que
j'avais lu dans plusieurs articles. "Pas de nuit pour nous". Il a fallu
chacun à notre tour dormir dans le canapé à côté de lui. Régulièrement,
il venait nous renifler, certainement pour vérifier notre présence. Et
petit à petit, avec ruse et bonbon à l'appui, il les a montés ces
fameux escaliers pour nous retrouver dans notre chambre mais dans son
panier. Et puis, on a fini par mettre des couvertures dans le canapé,
parce qu'il aimait regarder la télé avec nous le soir, sa tête posé sur
mes genoux. Jamais à court d'embrassades de part et d'autres. Je suis
toujours restée admirative de ses yeux à l'expression si douce, si
gentille, si humaine. Il avait même fini par aimer "un peu" notre chat
et je dirai qu'ils se supportaient chacun sur leur territoire; Nous n'en
étions plus aux courses du début.
Sa passion, c'était les gants de toilettes, surtout s'il pouvait les
voler, et alors il les léchait consciencieusement ainsi que l'eau
savonneuse du bain. "Chacun ses lubies". L'aspirateur aussi, bizarrement
ne l'effrayait pas du tout, il essayait d'aider comme il pouvait en
tenant le fil et en tirant si possible du mauvais côté...
Je pourrais dire tellement encore, mais vous tous amoureux des galgos,
vous savez ce que je pourrais rajouter, vous vivez encore toutes
situations parfois cocasses et parfois moins drôles.
Ce que j'aime aussi me souvenir de lui, c'est cette formidable énergie à
courir tous les matins dans le terrain, ces longueurs et sauts
impressionnants, et ses deux pattes arrières qui volaient, sautaient
comme un kangourou. On était ses spectateurs, on l'applaudissait, il
esquissait comme un vrai sourire et il repartait de plus belle. C'est
l'image dont je veux me souvenir de lui.
Chaque promenade était une fête, nous partions retrouver un âne dans une
pâture et ils se faisaient des bisous, des cabrioles, et chacun se
saluait à sa façon (peut-être, était-il en contact avec des ânes en
Espagne), mais peut-être, aimait-il voler le pain qui restait à côté
????
Malheureusement Nazareth est décédé ce dimanche en fin d'après-midi,
lors de la promenade habituelle qu'il aimait tant et qu'il attendait
toujours avec impatience. Un autre chien sur la route, et Nazareth d'une
formidable détente a réussi à nous faire perdre la laisse, pour se faire
aussitôt percuter par une voiture; il est mort sur le coup, Je ne vais
pas vous dire ce que j'ai ressenti, ni que mon cœur s'est arrêté de
battre.
Je lui avais tant promis sa sortie à la mer avec vous tous. Pour une
raison importante, nous voulions retrouver sa sœur Cora, partie vivre sa
propre vie mais combien présente en photos, en mails. Merci pour tout
cela Chantal !
Je tiens au passage à signaler que ces gens dans leur voiture, après
l'accident, ne se sont absolument pas préoccupés de mon Nazareth, mais
uniquement de leur capot de voiture. L’indifférence, c'est ça aussi !
Je voudrais juste écrire un passage du "Dormeur du Val" de Rimbaud
(octobre 1870) - c'est triste, mais c'est tellement ce que je ressens.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle, dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait comme un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine.
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.
Brigitte
Juste à
l'entrée du Paradis, il est un endroit appelé
Pont
Arc-en-Ciel.
Ce pont
relie le Paradis à la Terre.
Il est
ainsi dénommé en raison de ses multiples couleurs.
Juste
à l'entrée du Paradis, il y a des prairies,
des
collines et de verdoyantes vallées
pour
tous nos tendres amis, afin qu'ils puissent ensemble gambader et
jouer.
Lorsqu'un animal meurt
et
qu'il a été particulièrement cher au cœur de quelqu'un ici-bas,
cet animal va au Pont Arc-en-Ciel.
Là-bas,
il y a toujours de la nourriture, de l'eau fraîche, du soleil et
une brise chaude et printanière.
A
nouveau jeunes, les vieilles et frêles créatures,
remis à
neuf les éclopés.
Tous
jouent ensemble toute la journée.
Il n'y
a qu'une seule chose qui leur manque :
ils ne
sont pas à côté du maître adoré et sur Terre resté.
Aussi,
courent-ils et jouent-ils tout le temps,
jusqu'au jour où l'un d'entre eux s'arrête brutalement et se
dresse !
Les
narines frémissent !
Les
oreilles se dressent !
Les
yeux brillent !
Et
celui-là se sépare alors soudainement de la troupe.
Il
vous a vu et lorsque vous vous retrouvez …
Vous le
prenez dans vos bras
pour
l'étreindre à nouveau.
Votre
visage est couvert de baisers, encore et encore ...